Un sculpteur à l’hôtel d’Epinac

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Nous vous avions déja présenté Noriko Fuse, Philippe Hervouet, Jean-Yves  Bocher et Eric Magaud. Il nous manquait un sculpteur que nous retrouverons au RDC de l’hôtel d’Epinac en août.

Sébastien Ruiz, du 2 au 26 août 2018 – Hôtel d’Epinac (RDC)

Voir le site de Sebastien Ruiz

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Une oeuvre forte,  intuitive, d’une grande présence, utilisant le fer et l’inox.

 

 

 

 

 

 

Laissons Sébastien Ruiz présenter sa démarche.

« Le point de départ : un poste à souder à l’arc, une meuleuse, un chalumeau, des morceaux de métal broyé et d es bandes d’inox. Puis mon imagination improvise : aucun croquis, aucun plan. Je suis mon intuition et dans l’inconnu je recherche un fil conducteur. Inconsciemment la figure humaine s’impose.
Les personnages sculptés surgissent parfois aériens et en mouvements, parfois fébriles et statiques… […] A l’instar du sculpteur, mes personnages s’interrogent… »

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Demandez le programme de l’été 2018 !

Le printemps est là et avec lui le nouveau programme de Regards Sur pour l’été. De l’ambition avec 5 expositions (peinture / photographie) et de l’innovation avec une découverte photographique de la ville. 

 


1. Saint-Bonnet-le-Château, ville ouverte
Sur les pas de Philippe Hervouet

Photo Montage - Tous droits réservés Philippe Hervouet
Photo Montage – Tous droits réservés Philippe Hervouet

Saint-Bonnet-le-Château, ville ouverte, une exposition en extérieur.

Du 20 juin au 30 septembre 2018

Cette exposition en extérieur proposera, au long d’un itinéraire dans la ville de Saint-Bonnet-le-Château, une vingtaine de clichés de grande taille (1.4 m sur 1 m), réalisés par le photographe Philippe Hervouet.

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Carnet de voyage à Buenos Aires : « Mexico Moderno » au MALPA

Exposition au musée d’art latino-américain de Buenos Aires* (MALBA) 

Sélection et traduction : Maryvonne Crépinge

1. Une modernité cosmopolite

C’est dans la nouvelle configuration du modernisme cosmopolite mexicain que se détache l’estridentismo, un des mouvements les plus actifs, les plus anti-institutionnels et multiples qui a été présenté comme l’« avant-garde actualiste », une avant-garde qui adorait le futurisme urbain et qui, dans un  manifeste publié en 1921, appelait à « créer et non pas à copier les modèles étrangers ».

Au début du XXe siècle, alors que les écoles de beaux-arts sont en pleine rénovation, les artistes mexicains, tout comme ceux d’autres pays latino-américains, commencent à se déplacer et à dialoguer avec l’Europe, se liant avec ses intellectuels, ses artistes, et avec les avant-gardes. Ces différents courants modernistes promeuvent un refus du passé, un culte du progrès, et sont à la recherche d’une rénovation radicale.

La ville de Mexico, au cœur de toutes les avancées technologiques, se développe de façon vertigineuse. Un nouveau mode de vie se déploie, au style décontracté et hédoniste inspiré du mouvement féministe. On retrouve ce tourbillon sensoriel et intellectuel au centre des représentations esthétiques tant dans les arts plastiques, y compris la photographie, qu’en littérature, en musique et au cinéma.

 

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