Dès que l’on entre dans la salle où sont exposées les œuvres de Sébastien Alibert, un personnage nu, au fond de la salle, retient mon attention, celui au visage doré. Plus haut que les autres, il a un air effrayé, ou surpris. La nudité me fait penser à quelque-chose de pur, sans artifice.

Devant lui, à terre, une poule morte.

C’est l’oeuvre que je préfère (Golden age). Je la trouve à la fois drôle et tragique. Je ne savais pas si elle était animale ou robotisée. J’imaginais des pièces mécaniques à l’intérieur.Elle pond des œufs, épuisée de son triste sort. Continuer à lire … « Quand Éléonore rencontre les œuvres de Sébastien Alibert »
